
Depuis notre plus tendre enfance la société nous impose des étiquettes. Que ce soit au sein de notre famille ou en classe. Ce sont des jugements de valeur : « elle est étourdie », « il n’écoute pas », « elle est trop grosse », « elle est trop maigre »…. Ou, des critiques souvent inconscientes : elle est jalouse, il est colérique, elle n’écoute rien, elle ne sera jamais capable de… etc…
Ces catégorisations quelles qu’elles soient, nous marquent à vie. Personne n’apprend à être parents et tous les parents font des erreurs. Mais celles de donner des étiquettes est la pire. Car elles marquent une personne et souvent une simple remarque comme : “tu n’y arriveras jamais” pourra déterminer le comportement de toute une vie.
Une étiquette demeure un moule dans lequel on nous enferme.

Nous forgeons notre personnalité au travers du prisme de ces affirmations.
Une fois adulte, nous continuons à subir l’impact de ces étiquettes. Ces épithètes qui nous ont construits et qui nous ont définis aux yeux des autres nous pénalisent toute notre vie.
Une ado à qui on a répété à longueur d’années qu’elle était trop grosse , même si elle arrive à devenir une sylphide restera toujours “la petite grosse”. Un enfant à qui on a dit en boucle qu’il était capricieux ou méchant forgera sa personnalité sur ces critères.
Une petite fille que l’on a encensé en la portant aux nues deviendra une peste égocentrique.
Si on vous a dit que vous étiez une “vilaine”, un “paresseux” , un “bon à rien”, il vous a peut être fallu des années pour vous défaire de ce conditionnement créé de toute pièce par une personne qui vous a affublé d’une étiquette.
Mais alors pourquoi accepter, une fois adulte, à se conformer à ce que les autres attendent de vous ?
Les moules et les étiquettes choisis par les autres
Si nous arrivons au prix de grands efforts, à nous libérer de ces étiquettes de l’enfance, pourquoi une fois adultes, acceptons-nous de rentrer dans les moules imposés par la société ? C’est à dire les autres ?
Souvent nous adoptons des attitudes réductrices qui ne nous ressemblent pas pour rester dans un moule.
Relire l’article La case Quinquas et +
Nous perdons notre identité pour “faire comme les autres” ou pour être accepté par les autres.
En voulant à tout prix rentrer dans le moule imposé quel qu’il soit, nous perdons notre identité. Nous nous imposons des comportements afin de nous conformer à ces étiquettes , nous adoptons des attitudes qui ne nous correspondent pas et qui au final nuisent à nos relations.

Se débarrasser des croyances limitantes
Une croyance limitante est une petite voix négative forgée par notre mental qui nous fait croire que nous ne sommes pas capables de faire certaines choses ou de vivre comme nous le voulons.
Nous pouvons nous libérer de ces croyances limitantes. En faisant un travail sur soi dans un premier temps, et en apprenant à ne pas juger les autres.
Se débarrasser de ces étiquettes.
Nous ne sommes pas une étiquette et nous ne devons laisser personne nous en imposer une.
Facile à dire certes, mais comment faire ?
Tout d’abord en nous débarrassant de certaines croyances.
Oublions la croyance que nous devons entrer dans des moules formatés par d’autres pour être acceptés.
Non, vous ne devez pas être la plus belle pour être heureuse !
Non vous ne devez pas devenir riche pour exister.
C’est un travail long et plus ou moins difficile à faire seul ou accompagné par un thérapeute.
Mais une fois ce travail fait et une fois débarrassés de nos croyances limitantes nous accèderons au bonheur.
Longtemps la société nous a sussuré que nous devions réussir pour être heureux.
En travaillant sur nos croyances limitantes on arrive à ce constat beaucoup plus agréable en inversant la croyance. Soyons d’abord heureux et ce sentiment de bonheur nous mènera vers la réussite.
La croyance de la réussite.
Ensuite nous comprenons que la réussite est en nous, et pas au travers du regard des autres.
Pour certains la réussite passe par l’argent, pour d’autres par la notoriété. Pour d’autres encore elle passe par la possession.
Pour ces personnes, la quête est incessante et à force de vouloir posséder , être reconnus, il se perdent.
Et si la réussite était simplement un bonheur tout simple ?
Dès notre plus jeune âge on nous a dit que pour être heureux il fallait réussir.
Mais on ne nous a jamais demandé ce qu’était le bonheur pour nous !
En acceptant de faire un travail sur nous, c’est à dire de rechercher au plus profond de notre âme ce que nous voulons vraiment la solution apparaît.
Il suffit de s’accepter et d’accepter ce que la vie nous donne.
Certains matins, un sentiment de plénitude nous envahit , simplement en prenant une tasse de café ou en regardant une fleur éclore au printemps.
Et là, on se rend compte que nous n’avons besoin d’aucun artifice de notoriété ou de richesse pour être simplement heureux.
Ce bonheur on le trouve simplement en soi, dans le confort de notre intérieur, dans la bulle de calme que nous portons en nous.
Le bonheur est simplement dans notre ouverture aux autres, dans notre propension à nous ouvrir à de nouvelles relations , dans la renonciation aux jugements, à l’envie.

Le chemin pour y arriver
Pour sortir de la spirale infernale de la réussite à tout prix quelle qu’elle soit il suffit de s’arrêter et de s’intéresser à … nous !
Ce n’est pas être égoïste ou égocentrique. C’est simplement trouver ce à quoi nous aspirons au plus profond de nous mêmes. En faisant fi des étiquettes que nous portons depuis l’enfance ou pire, que nous nous imposons pour ressembler aux autres.
Les moines bouddhistes se retirent du monde pour méditer. Et c’est un bon point de départ.
Bien évidemment, nous n’allons pas nous couper du monde.
Mais, prendre le temps de se retirer de temps en temps de la spirale infernale dans laquelle la société moderne nous attire permet de faire le point.
Cette période de confinement forcé peut être le bon moment pour le faire.
Couper son téléphone , prendre du recul se retirer dans une bulle de bien être en évitant tout jugement sur soi et sur les autres peut être la solution.
Lâcher prise , prendre conscience que toute planification est une source de stress inutile et vaine. Se donner le temps de réaliser pleinement ce que nous voulons vraiment et ce qui nous rend vraiment heureux.
Cette retrospection nous permettra une prise de conscience vers « l’estime de soi. »
Se donner le droit d’être totalement soi
En faisant ce travail intérieur nous allons prendre conscience de plusieurs choses
- Arrêter d’essayer de devenir une meilleure version de nous mêmes pour plaire aux autres.
- Apprendre à dire non si nous n’avons pas l’envie de participer à telle ou telle chose.
- Rester nous-même, car en ne le faisant pas, en niant nos envies et nos aspirations profondes, nous envoyons un message permettant aux autres de nous traiter n’importe comment.
- Ne pas dire oui si nous n’avons pas envie de faire quelque chose ou ne pas le faire pas parce que les autres le font !
Car, quand nous agissons contre notre coeur pour plaire aux autres, ou pour être aimés, nous renions ce que nous sommes vraiment.
En nous empêchant d’être nous mêmes pour ne pas être jugés ou déplaire aux autres nous réduisons notre potentiel de bonheur.
Faire ce travail sur nous, nous permet de rester authentique.
Le chemin n’est pas simple et il faut une certaine dose de courage pour oser aller de l’avant en étant honnêtes avec nous-mêmes.
Laisser tomber les masques, les étiquettes, les moules , accepter de nous montrer telles que nous sommes et avoir le courage de refuser le formatage est le prix pour découvrir le bonheur d’être libres.
Pour aller plus loin dans cette quête du retour sur soi et du bonheur simple vous pouvez consulter ces ouvrages.
L’Alchimiste de Paulo Coelho
Libérer ses pensées: En finir avec les peurs et les croyances limitantes de Anne- Sophie Durand
Avez-vous des croyances limitantes ? Je serai ravie d’en discuter en commentaires.

Vous avez aimé cet article ? Partagez-le ou épinglez le !
Coucou Corinne! Oui c’est très juste, il y a les étiquettes de l’enfance qui sont sans doute les plus dévastatrices pour la vie et qu’il est bon d’identifier pour s’en libérer si possible. Mais il y a aussi les étiquettes permanentes que nous collent les autres et que nous collons aux autres sans les connaître. Tu as raison, c’est bon de prendre du recul, de lire quelques bons ouvrages et cette période est propice! Bisous
Auteur/autrice
Hello Isa, oui il faut pouvoir se défaire des étiquettes de l’enfance. C’est souvent un long cheminement. Pour ce qui concerne celles attribuées à l’âge adulte il faut les ignorer ! plus facile à dire qu’à faire ! Belle journée. Bises
Coucou Corinne, ah les étiquettes… comme si c’étaient une deuxième peau ! Cela peut prendre des années pour s’en défaire et parfois on n’y arrive même pas. Cela demande un grand travail sur soi pour dépasser ces étiquettes attribuées depuis l’enfance.
Merci pour cet article qui porte à la réflexion.
Bon week-end, bises
Auteur/autrice
Hello Isa, oui c’est exactement ça ! une seconde peau dont il est difficile de se défaire ! Bises
Coucou Corinne ! 🙂 Ha les étiquettes, Dieu sait à quel point j’en ai souffert (comme beaucoup d’entre nous). Si tu savais le nombre de lecture très inspirantes dont je me suis « régalée », comme certains livres de Paulo Coehlo que tu cites. D’ailleurs, je recommande ce titre aussi car il est vraiment agréable à lire. Mais il y a aussi Siddartha, ou l’histoire de Bouddha, que j’ai particulièrement aimé, pour ne pas dire adoré ! Le Périple de Baldassar…tous ne me reviennent pas en mémoire car cela fait vraiment plusieurs années que je les ai lu : à une période, je ne lisais que ce genre de livre ! lol. C’est un très bel article que tu as écris là ma Corinne, et je pense qu’il va parler à tout le monde, car tous, avons été dans une étiquette à un moment donné… Je t’envoie de gros bisous et te souhaite un très bon 1er Mai…malgré tout <3 Nathalie
Auteur/autrice
Hello Nathalie, tu as lu plus d’ouvrages que moi sur le sujet ! Bravo. J’ai beaucoup aimé celui de Paulo Coehlo. Oui c’est un sujet qui concerne un grand nombre de personnes. Certains arrivent à s’en détacher , d’autres pas. Je pense que c’est avant tout un travail des parents car dès l’enfance les étiquettes arrivent et peuvent nous nuire toute une vie. Très bon week-end à toi aussi.
J’ai aimé ton article qui parle à beaucoup. Le poids des étiquettes qu’on nous colle à la peau étant enfant est terrible et très néfaste. Plus tard, pour rentrer dans le moule, on tente de ressembler à untel ou untelle, mais c’est avec les années qu’on apprend à être soi-même et à se faire confiance. Le jugement des autres peut être terrible et nous suit longtemps dans notre vie.
Merci pour ton article.
Auteur/autrice
Bonjour, effectivement le poids des étiquettes peut nous suivre toute une vie ! Il faut savoir s’en débarrasser soit en se faisant aider, soit en travaillant sur soi. Et surtout ne pas vouloir ressembler aux autres et rester soi même, et accepter de ne « pas plaire à tout le monde » ! Belle journée
Mais comment fais-tu pour dire ces mots justes qui me touchent tellement ? C’est juste exceptionnel … J’ai fait ce cheminement avec une psychothérapeute. Je suis MOI aujourd’hui, débarrassée de ces carcans éducatifs tellement lourds et qui t’empêchent d’être heureuse. Une deuxième naissance en fait !
Bravo pour cette analyse si juste Corinne. Elle m’a beaucoup émue. Prends bien soin de toi en cette période particulière d’où nous sortirons encore plus forts et avec la certitude en effet que l’amour est notre plus belle richesse.
Auteur/autrice
Bonjour Kathy Je pense que mes mots raisonnent peut-être à cause des blessures que nous avons toutes ! (et tous) Merci en tous cas pour tes encouragements, j’apprécie beaucoup tes mots. Belle journée
Merci Corinne pour cet article, justement j’en parlais hier avec ma fille (synchronicité ?) Et tu me donnes d’autre piste à explorer. Bonne journée et prend soin de toi.
Auteur/autrice
Bonjour Denise, oui peut être en tous cas en osmose avec mes lectrices certainement ! Je suis contente que cela raisonne en toi en tous cas. Belle journée
coucou Corinne, depuis toute petite, j’ai eu une étiquette qui me colle à la peau ! j’ai entendu « tu es bien grande ! » toute ma vie … effectivement mesurer 1M74 dans les années 70 c’était assez rare pour une fille ! j’ai eu droit à girafe, grande gigue etc … comme si je n’étais pas tout à fait normale … passé l’adolescence, cela ne m’a plus dérangée même si je trouve assez lourd de l’entendre encore aujourd’hui ..depuis quelques années, j’ai décidé de vivre ma vie comme je l’entend et davantage ces dernières semaines… ce n’est pas toujours évident de ne pas faire ce que les autres attendent de toi mais c’est ainsi … bisous.
Auteur/autrice
Hello ma belle, mais je rêve d’être grande ! Comme quoi nous ne sommes jamais contentes ! Pour avoir subi les affres des complexes plus jeune je comprends tout à fait ! Tu as raison il faut faire fi du regard des autres à tout point de vue. Et je reste persuadée que plus nous vieillissons plus nous arrivons à le faire ! Belle journée
Bonjour Corinne comment vas-tu?tu as raison il faut se délivrer de tout ça!
Prends soin de toi
Bises
Auteur/autrice
Bonjour Caroline ,oui absolument et on y arrive avec un peu de courage ! Bises
J’ai découvert récemment une pensée limitante qui m’avait bloqué de nombreuses années dans ma vie professionnelle. Aujourd’hui à 58 ans je n’ai plus le temps d’être limitée ! seul compte mon avis. Je fais, je dis, comme je le sens et surtout pour mon bien-être. Je suis de ce fait beaucoup plus à l’écoute des autres et je suis vraiment en harmonie avec moi-même et le monde autour de moi. Mes douleurs s’estompent et ca s’est fabuleux ! Très bel article Corinne.
Auteur/autrice
Hello Nadine, tu es sur le chemin de la raison ! Je pense que le travail que nous avons fait ensemble m’a beaucoup aidé dans ma prise de conscience actuelle ! Tu m’as prouvé que mes pensées limitantes me faisaient du mal. Après une longue réfléxion et la lecture de quelques ouvrages je me sens beaucoup mieux ! Belle journée.
Très vaste sujet qui touche aussi bien à l’éducation qu’aux normes « sociales » en vigueur.
Il n’existe pas de « société » sans conditionnement, ni d’éducation sans schéma. en tout cas chez les mammifères. C’est une empreinte parmi d’autres (génétiques, géographiques, appartenances ethniques, genres, classe sociale, religions, etc). Intéressant de se pencher sur la notion de liberté, soit de distanciation personnelle possible par rapport à ces « marqueurs »… beaucoup de processus sont possibles et j’apprécie les réflexions systémiques sur ce sujet, notamment celles de Cyrulnik et les « facteurs » de résilience, car nous demeurons des animaux sociaux !
Auteur/autrice
Bonjour Catherine oui le sujet est vaste. J’ai eu envie de l’aborder suite à la lecture du livre de L’alchimiste qui m’a vraiment remué. Il faut une bonne dose de résilience pour surmonter les traumatismes de l’enfance et justement en devenant adultes il est temps de nous libérer des étiquettes ! Belle journée
Bonjour Corinne,
Très intéressant ton article, et un sujet très vaste ! Il est difficile de démêler nos croyances limitantes les unes des autres quand on en a beaucoup ! Et difficile de s’en débarrasser si on est soumis au quotidien (dans le travail par exemple) à un véritable travail de sape de la part de certaines personnes. J’ai constaté, il y a quelques jours seulement, que lorsque on ose dire ce qu’on pense vraiment ça marque les esprits même des années plus tard, il n’empêche, qu’on reconnaisse que tu avais raison quand tu as exprimé ton avis il y a 7 ou 8 ans n’empêche pas qu’on t’ai jugé pendant toutes ces années et les précédentes et n’efface pas les blessures. Il est certainement difficile de sortir du moule dans lequel on s’est coulé pour être accepté, encore plus difficile de sortir de celui dans lequel on s’est enfoncé pour se protéger. Et puis, il faut arriver à comprendre que ce sont des croyances, on a beau savoir que des personnes très douées pour ça vous inculquent certaines choses pour vous manipuler on doute toujours, on se dit que peut-être elles ont raison.
En tout cas, merci pour cet article très intéressant et à très bientôt
Bises 😘
Auteur/autrice
Bonjour Isabelle, oui je n’ai pas abordé le domaine professionnel, mais effectivement il peut très souvent poser problème. C’est tellement facile de cataloguer les personnes suivant ses propres critères. Merci pour tes encouragements. Belle journée
Bonjour Corinne,
Je partage complètement votre billet. Il est vrai que, dès l’enfance, nous devons rentrer dans des moules, être dans la norme, et cela se poursuit à l’âge adulte.
Pour ma part, j’ai constaté que certains aspects de mon mode de vie ont « dérangé » certaines personnes qui fonctionnent autrement, et qui sont dans le jugement.
Si l’on veut être soi-même et se sentir heureux, il faut surmonter cela; j’y suis parvenue après beaucoup de réflexion et à un âge « raisonnable »!
Ce confinement peut, effectivement, être le moment de se retrouver et de se débarrasser de ces maudites étiquettes ….C’est ce que souhaite pour certaines et certains, et ce n’est que du positif.
Bien à vous.
Auteur/autrice
Bonjour Ines effectivement nous avons trop tendance à être dans le jugement lorsque d’autres ne vivent pas comme nous. Et nous essayons de « rester dans la norme » pour plaire ou faire comme tout le monde. C’est justement choisir la liberté que de ne plus le faire et je pense effectivement qu’avec une certaine maturité nous pouvons y arriver. En tous cas c’est ce que j’essaie de faire de plus en plus ! Très bonne journée et bienvenue dans nos échanges.
Voilà un article qui approfondit un sujet qui me passionne les croyances limitantes et le conditionnement.
Tu mets en lumière plusieurs aspects que j’aborde tous les jours au cabinet et avec les étudiants.
Nous nous identifions aux idées de nos parents ou nous les rejetons parfois mais en grandissant la question à se poser est : qui pense cela ? Est-ce que mon expérience le confirme ? Est-ce que je suis en phase avec telle ou telle idée ? On s’aperçoit que le tri n’est pas aisé.
Les blessures de l’enfance peuvent être des enclumes auxquelles nous sommes enchaînées ou bien un tremplin pour évoluer vers notre bien-être et notre joie.
Nous avons besoin des autres et nous avons besoin d’être bien seule. Ce sont des allers retours nécessaires sinon on se perd. Bonne journée Corinne
Auteur/autrice
Hello Stéphanie, oui j’imagine que ce doit être un sujet récurent dans ta profession. Les blessures de l’enfance sont difficile à assumer une fois adultes et c’est un long chemin ! Bises
Bonjour Corinne, un sujet très pertinent qui nous concerne toutes je pense. Nous avons tous et toutes des croyances limitantes et souvent le syndrome de l’imposteur, je crois que tu avais traité ce sujet également. (tu vois je suis une lectrice assidue !). Que ce soit les profs ou les parents à un m moment de notre vie on nous a mis dans des cases. Pour moi c’était ma taille, je suis grande et j’étais toujours la girafe de service. Dans ma famille on m’appelle « la grande » ou Berthe aux grands pieds … bref , dur de se débarrasser des étiquettes. Merci pour cet article une sucrerie en prenant mon café.
Auteur/autrice
Bonjour Martine, oui je vois ce que tu veux dire ! Moi c’était la petite boulotte, dans le style les blessures sont les mêmes. La maturité sert au moins à une chose : passer outre quand on peut le faire. Merci pour tes encouragements. Très bonne journée.