La 7 ° femme : Frédérique Molay

la proivnciale

4° de couverture :

 

La Crim’ ne se repose-t-elle donc jamais, même le septième jour ?

Sept jours pour faire cesser l’horreur !
Le Quai des Orfèvres comme si vous y étiez : le fameux escalier, les filets de protection, la vétusté des murs… Si ces murs pouvaient parler, ils diraient l’esprit de corps, les tensions qui se nouent, les affaires qui se dénouent… et le combat implacable du patron de la Crim’ : course contre le monstre, course contre la montre pour sauver la 7e femme !

Frédérique Molay nous emmène à un train d’enfer dans le quotidien des femmes et des hommes de la P.j. comme dans l’univers énigmatique et glacé des praticiens de la médecine légale.

 

 

 

7 jours comme une éternité.

Le premier jour une femme est découverte assassinée atrocement mutilée dans son appartement parisien.
Le commissaire Nico Sirshy, chef de la brigade criminelle est chargé de l’affaire. Parallèlement il rencontre un médecin Caroline Dalry dont il tombe amoureux.
Le 2 ° jour une autre femme est retrouvée morte et a vécu les mêmes sévices.
Une course contre la montre commence entre l’équipe du 36 quai des orfèvres et le tueur en série qui prend un malin plaisir à provoquer le commissaire, on comprend qu’il va s’en prendre à ses proches.

Un récit bien construit, une intrigue qui nous tient en haleine tout au long du bouquin. Un bon polar, bien maîtrisé pour les adeptes du genre.
J’ai aimé, j’avais deviné au milieu du livre l’identité de l’assassin mais cela ne m’a pas empêchée de savourer le récit avec des battements de cœur indispensables à la lecture de tout bon polar.

Ce roman a reçu le prix du quai des orfèvres 2007 et il le mérite.


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4 commentaires

  1. Tu nous donnes bien des frayeurs à la lecture de son sypnosis .
    Je reconnais, je li peu de livres polar et pourtant quand tu en fais la présentation, ils sont très attrayants.
    Il va falloir, enfin, que je franchisse le pas dans les méandres des enquêtes.
    Á bientôt Corinne.

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